SCOR

Réassureur mondial de premier plan, SCOR offre à ses clients une gamme innovante et diversifiée de solutions et de services de réassurance et d’assurance pour le contrôle et la gestion des risques. Fidèle à sa devise « l’Art et la Science du Risque », le Groupe met son expertise reconnue au sein du secteur et ses solutions financières de pointe au service du bien-être et de la résilience des populations. En termes de solidité financière, les agences de notation indépendantes (Moody’s, AM Best, S&P et Fitch) placent SCOR parmi les compagnies de réassurance les plus solides au monde. La politique de SCOR repose sur quatre principes fondamentaux : - appétence au risque contrôlée, - protection du capital élevée, - diversification élevée, - fonds de commerce solide. Ces principes sont des atouts essentiels qui permettent au Groupe de créer de la valeur à long terme. Les choix organisationnels du Groupe sont guidés par des principes solides : mobilisation des compétences et de l’expertise, efficacité opérationnelle, simplicité structurelle, filières hiérarchiques claires et répartition équilibrée entre les différentes équipes et entités du Groupe. En tant que groupe de réassurance indépendant global, SCOR contribue au bien-être, à la résilience et au développement durable de la société en réduisant le déficit de protection, en rendant les produits d’assurance accessibles au plus grand nombre, en aidant à la protection des assurés contre les risques auxquels ils sont confrontés, en repoussant les frontières de l'assurabilité et en agissant comme un investisseur responsable. Grâce à l’expertise et au savoir-faire de ses collaborateurs, SCOR combine l’art et la science du risque pour offrir à ses clients un niveau de sécurité optimal et créer de la valeur pour ses actionnaires en développant ses lignes d'activité vie et dommages, dans le respect strict des règles de gouvernance d'entreprise. SCOR propose à ses clients une large gamme de solutions innovantes dans le domaine de la réassurance et poursuit une politique de souscription fondée sur la rentabilité, soutenue par une gestion du risque efficace et une politique d'investissement prudente. La résilience incarne et définit le secteur de la réassurance. SCOR se donne pour mission de minimiser l’impact des chocs, lorsqu’ils surviennent – afin de rendre le monde plus vivable. Aujourd’hui, beaucoup trop de gens ont une couverture d’assurance insuffisante, voire inexistante. À chaque catastrophe, cette absence de couverture réduit la capacité des sociétés à se remettre sur pied et à repartir de l’avant. Pour aider à combler ce déficit de protection, SCOR repousse le plus possible les limites en offrant des produits nouveaux et des services améliorés. Dans le même temps, l’horizon des risques émergents s’élargit. Aujourd’hui, nos sociétés mettent en balance leurs efforts pour faire face à une pandémie mondiale avec la nécessité d’anticiper les dommages potentiels liés à des menaces telles que les cyberattaques et pour lutter contre les changements climatiques et s’adapter à ces changements. Et souvent, cependant, ces phénomènes ne sont pas encore totalement appréhendés. Renforcer notre résilience dans cet environnement en constante évolution constitue un défi, mais aussi une opportunité. Nous assurons les assureurs. Les grands risques et les catastrophes sont la matière première de la réassurance. À la différence de l’univers de l’assurance, qui est marqué par des cycles et des tendances où les chocs sont exceptionnels, les réassureurs doivent se concentrer sur l’extrémité du spectre des probabilités – les événements de fréquence faible et de gravité élevée pour lesquels la variance par risque est beaucoup plus élevée. La distribution de probabilité des risques de l’assureur se fonde sur des données abondantes et granulaires ; pour le réassureur, compte tenu du manque de connaissances sur un grand nombre de catastrophes potentielles auxquelles nous sommes confrontés, les données sont limitées. C’est la raison pour laquelle nous avons recours à des outils probabilistes plutôt que statistiques. Nous n’anticipons pas les événements futurs – nous les déduisons par raisonnement. De plus en plus, cela implique la construction d’un monde de scénarios.