Vitaprotech

Je m'appelle Alexandra. Depuis mon arrivée chez ARD il y a 3 ans en tant qu’Assistante commerciale, j’ai toujours pu concilier mon travail et ma santé, malgré des pathologies entraînant douleurs et fatigue. Grâce à l’écoute de ma responsable, j’ai pu adapter mes horaires sans impact sur mon poste. Face à l’évolution de mon état, Vitaprotech et ARD m’ont accompagnée dans la constitution de mon dossier RQTH et l’aménagement de mon poste. Avant même la validation par la MDPH, j’ai bénéficié d’un bureau assis/debout, d’un fauteuil ergonomique et d’un bras support pour mes écrans, améliorant mon confort et réduisant mes douleurs. Cet accompagnement m’a permis de me sentir soutenue et considérée. Je remercie sincèrement les équipes d’ARD et de Vitaprotech pour leur engagement en faveur du bien-être et de l’inclusion, qui me permet de poursuivre mon activité professionnelle dans de meilleures conditions.

Je m'appelle Félix. Lorsque je suis arrivé chez TIL, j’ai parlé ouvertement de mon handicap (en l’occurrence, des problèmes de vue) et énoncé clairement les difficultés que je pourrais rencontrer. Cela a permis aussi de mettre à l’aise mes collègues et mon manager. Premièrement, ils savaient qu’il n’y avait pas de problème à aborder le sujet. Deuxièmement, ils savaient comment s’adapter. Leur bienveillance, ainsi que celle de tous les collaborateurs autour a fait le reste. Une fois que le bon outil a été mis en place (en l’occurrence un logiciel de zoom) et que les gens étaient au courant, le handicap n’était plus un sujet. J’ai donc pu accomplir mon travail comme tout un chacun, ce qui m’a amené aujourd’hui sur un poste à responsabilités, sans qu’aucune différence n’ait été faite, qu’elle soit positive ou négative. Au final, c’est ça la vraie inclusion, selon moi.

Je m’appelle Gloria, j’ai 60 ans et je souffre de troubles musculo-squelettiques. Lorsque l’équipe RH m’a contactée pour le poste, je n'étais pas nécessairement à la recherche d'un CDI. Cependant, le feeling s’est fait tout naturellement lors des entretiens ; l’ensemble des personnes qui m’ont interviewée ne s’est pas arrêté à mon âge ou à mon accent (je suis Colombienne), mais à mes compétences pour occuper le poste. Une fois en poste, la collaboration entre la médecine du travail et la RH a été facilitatrice pour la prise en charge par l’AGEFIPH d’une bonne partie du coût de l'aménagement de mon poste : siège ergonomique, souris et repose-pieds adaptés. Un poste n’est bon que si le relationnel avec les collègues l’est également. Sur ce point, ils ont toujours été d’une bienveillance exemplaire à mon égard. Récemment, j’ai dû subir une lourde opération, et leurs messages d'encouragement me donnent de la force dans les moments difficiles. Je les remercie infiniment.